"Etre heureux, c'est avoir non pas tout ce qu'on désire, mais enfin une bonne partie, peut-être la plus grosse partie de ce qu'on désire. Soit. Mais si le désire est manque, on ne désire, par définition, que ce qu'on n'a pas. Or, si l'on ne désire que ce qu'on n'a pas, on n'a jamais ce qu'on désire, donc on n'est jamais heureux. Non pas que le désir ne soit jamais satisfait, la vie n'est pas difficile à ce point. Mais en ceci que, dès qu'un désir est satisfait, il n'y a plus de manque, donc plus de désir."


Profond me direz vous... en effet. Il a fallut que je m'y reprenne à plusieurs fois pour tout bien comprendre. Quand on vous fait ça en dictée, permettez moi de vous dire qu'on est plus concentré sur le sens profond que sur les accords sujets verbes (que j'ai d'ailleurs faillit oublier ici..).

Une fois qu'on a compris en ce dit que.... oui en effet.... c'est pas bête et ça se tiens.

L'un ne peut être si l'autre n'est pas. (Ouaoooo !!! profond)

Vous m'excuserez mais je continu dans les trucs qui ne servent à rien, en vous présentant ma dernière production des logos du MAS (et oui militante un jour militante toujours).

On essayait de se trouver un coin tranquille pour manger en contrebas parce qu'au col y avait trop de vent (et aussi une frontière, un querne, un maison en ruine et on était un lundi !) quand on est tombé sur ce névé...

Ok j'ai pas eu l'idée toute seule, des gens avait marqué des trucs avec des pierres et c'est là que j'ai eu l'idée de le faire dans la neige, mais bon quand même !!